Contenu

Même les légumes ont un sexe: petite(s) histoire(s) entremêlée(s) de la nourriture et du sexe

Résumé
Des aphrodisiaques au foodporn, découvrez les liens étroits entre gastronomie et érotisme à travers un ouvrage ludique et grand public. Saviez-vous que les huîtres ont pendant longtemps été associées au plaisir sexuel ? Que le chocolat était vu par les amants de la comtesse Du Barry comme un stimulant ? Que les premiers restaurants de Paris ont ouvert au xixe siècle dans le quartier " chaud " de la capitale ? Potion de l'Antiquité ou crème Babette, cloître ou maison close, de La Grande Bouffe aux jus détox likés sur les réseaux sociaux, en quoi notre alimentation est-elle révélatrice de la sexualité d'une époque ? Mêlant anecdotes historiques, éclairages scientifiques et culture populaire, des aphrodisiaques jusqu'au foodporn et #balancetonporc, l'auteure dresse la grande fresque de l'idylle entre gastronomie et érotisme.
Durée: 4h. 37min.
Édition: Paris, Solar, 2018
Numéro du livre: 66283
ISBN: 9782263155222
CDU: 301

Documents similaires

Lu par : Pierre Biner
Durée : 3h. 49min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 68043
Résumé:Mai 1968 a affranchi la sexualité de ses tabous et de ses archaïsmes. Pour le meilleur, mais aussi pour le pire, car avec cette "révolution" , les plus jeunes ont été entraînés dans une sexualité prématurée, reconnue aujourd'hui comme violente. Historienne, féministe engagée, Malka Marcovich a été témoin de ce qu'a représenté Mai 1968 pour toute une génération. Forte de cet héritage de liberté, mais aussi consciente des dérives, elle est allée à la rencontre de femmes et d'hommes qui ont souffert d'un climat d'abus sexuel, insidieux ou manifeste. Ce livre donne enfin la parole à ceux qui se sont trop longtemps tus et aborde de manière inédite un tournant fondamental dans l'histoire de nos sociétés.
Lu par : Florence Depraz
Durée : 3h. 36min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 72302
Résumé:Respectivement sociologue et cuisinier, les auteurs expliquent que les acteurs de la restauration collective, tels que les grands industriels de l'agro-alimentaire, n'ont aucun intérêt à ce que la qualité des cantines évolue. Ils montrent qu'il est possible de servir des produits locaux, de saison, voire biologiques, sans hausse du prix du repas.
Lu par : Marie Lourizi
Durée : 5h. 6min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 15478
Résumé:« La planète se réchauffe, les glaciers fondent, la météo déprime, les canons à neige et les charters prennent alternativement le relais. En fait de saisons, nous ne pouvons plus compter que sur l'heure d'été et l'heure d'hiver, suppléer les cycles naturels par le décalage horaire, décaler le temps, l'espace, le réel, simuler la vie. Nous déréglons notre montre comme si nous n'avions pas raté l'ultime rendez-vous que nous concédaient l'Histoire et l'écologie. L'hiver est donc ici envisagé en tant que métaphore de la congélation culturelle coïncidant avec le réchauffement climatique corrélation très «naturelle» au demeurant : il eût été surprenant que la mondialisation, la pensée unique, l'entropie mentale, l'homogénéisation intellectuelle, restassent sans effet sur notre milieu vital.
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 18h. 44min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 32073
Résumé:Fruit du travail d'une équipe de sexologues américains, ce dictionnaire recense, commente et explique tout ce qui peut exister en matière de perversions et pratiques amoureuses. Dans un langage clair et précis, il décrit les pratiques, leur histoire, les risques qu'elles peuvent faire courir à leurs adeptes.
Durée : 11h. 48min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 72743
Résumé:Après Les couilles sur la table, cet ouvrage adapté du podcast du même nom constitue une exploration documentaire de la future révolution romantique. Montrant notamment comment les mythes romantiques justifient la violence amoureuse, l'auteure mène une réflexion sur la façon de mettre en place individuellement et collectivement des relations profondes et égalitaires.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 8h. 50min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 75118
Résumé:Depuis peu, les militants de la cause woke défrayent la chronique en raison des actions qu’ils mènent dans les universités pour y interdire toute forme de pensée considérée comme attentatoire aux principes qu’ils défendent. Dans les débats en cours, un point essentiel est passé inaperçu. Avocats et adversaires du wokisme partagent un même mot d’ordre. Il faut, affirment-ils tous, « reconstruire » après avoir « déconstruit ». Le projet est le même auquel étrangement souscrivent deux camps que, pourtant, tout distingue. En ce sens, le wokisme et l’antiwokisme se caractérisent pareillement par leur opposition à l’idée de déconstruction. Encore faudrait-il savoir ce que le mot signifie et se donner ainsi une chance de comprendre l’étrange « reconstructionnisme » qui prévaut aujourd’hui et dont la logique conduit fatalement à l’affrontement de deux identitarismes adverses. Car il importe moins, contre l’opinion unanime, de reconstruire enfin ce qui avait été hier déconstruit que de déconstruire encore ce qui prétend se reconstruire aujourd’hui. Selon une leçon que la littérature nous prodigue aussi, essentiellement réfractaire au diktat et aux simplifications d’un certain discours militant.
Durée : 8h. 55min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 33767
Résumé:Dans ce livre, 17 jeunes chercheurs en sciences politiques ou sociales ont choisi de répondre à 15 questions qui fâchent ou que tout le monde se pose : les étrangers volent-il notre travail ? Les citoyens sont-ils trop bêtes pour voter ? Peut-on tout dire au nom de la liberté d'expression ? En utilisant des outils scientifiques, mais les rendant accessibles au grand public, les auteurs ont eu à coeur de proposer une réflexion exigeante mais claire qui permet d'aborder de manière sérieuse des questions qui ne cessent de revenir dans le débat citoyen. Un livre audacieux et stimulant, illustré par le célèbre dessinateur Mix & Remix.
Lu par : Jean Frey
Durée : 1h. 26min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 36849
Résumé:« Il faut en finir avec les visions stéréotypées de Mai 68, qui vont à coup sûr nourrir les célébrations comme les vitupérations, les nostalgies comme les procès de ce mois symbolique à l’occasion de son cinquantenaire. Au fond, en Mai 68, ce qui nous animait, ce qui nous enthousiasmait, était la conviction qu’il fallait en finir avec les places sociales, que le renversement de l’impitoyable, de la sordide hiérarchie des fortunes, des libertés et des pouvoirs était politiquement possible, à travers un type inédit de prise de parole et la recherche tâtonnante de formes d’organisation adéquates à la nouveauté de l’événement. Si nous portons toutes les leçons de Mai 68 au cœur du monde vivant, nous pourrons, oui, mais seulement sous ces conditions, redire et suivre l’appel de Mao : “On a raison de se révolter.” »
Lu par : André Cortessis
Durée : 9h. 13min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 36024
Résumé:"La nation rassemblée et l'état d'urgence décrété, nous vivons un moment souverainiste. Mais à quel prix, et sous quelles conditions, pouvons-nous vivre ensemble ? Cette question fait clivage. Le souverainisme est ce nouveau spectre qui hante le monde. Rien de plus normal pourtant, car la question de la souveraineté est fondatrice de la démocratie. Elle fonde la communauté politique, ce que l'on appelle le peuple, et définit un ordre politique. Partout en Europe et dans le monde s'exprime la volonté populaire de retrouver sa souveraineté. Que ce soit face aux incohérences de l'Union européenne sur la crise des réfugiés, ou face aux questions suscitées par le déni de la souveraineté grecque des institutions de la zone Euro, la souveraineté est la question d'aujourd'hui. Si elle a pris une place centrale dans le débat, c'est bien parce qu'elle touche à quelque chose d'essentiel : la liberté. Celle de faire et de décider, en son propre nom comme de manière collective. Mais qui dit souveraineté dit aussi peuple et laïcité. Aujourd'hui plus que jamais, il est impératif de rejeter les définitions du peuple fondées sur l'ethnie ou la religion, et d'affirmer la nature historique et politique de cette notion. Faire disparaître du champ politique le principe de souveraineté ne peut se justifier que par une volonté de faire disparaître aussi le principe de démocratie. Il ne faut alors pas s'étonner de ce que la société glisse vers l'anomie et la guerre de "tous contre tous"." J.S. Un essai de sciences politiques pour nous aider à penser la société et reconstruire le lien républicain.
Lu par : Manon
Durée : 8h. 32min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 28773
Résumé:Un panorama de l'aide sociale privée aux Etats-Unis, à laquelle près de 90 % des Américains participent en donnant du temps ou de l'argent.
Lu par : Manon
Durée : 8h. 58min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 28679
Résumé:En une vingtaine de chapitres, L.-B. Robitaille, correspondant d'un grand quotidien nord-américain, dresse le portrait du Parisien et de sa ville. Sur un ton humoristique, il évoque, entre autres, les artistes, écrivains, personnalités politiques, serveurs, coursiers croisés au cours de ces dernières décennies.
Lu par : Sylvie Marsac
Durée : 4h. 23min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12808
Résumé:Un pas en avant, deux pas en arrière. Constat peu glorieux ? "Fausse route" d'Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. Rappelant que la différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions, Élisabeth Badinter pointe, dénonce parfois, les contradictions d'un féminisme "obsédé par la problématique identitaire". Et l'auteur de poser la question : quels sont les réels progrès réalisés depuis quinze ans ? À étudier de près les phénomènes sociaux et comportementaux durant les deux dernières décennies, aussi bien dans le monde oriental que dans le monde occidental, on prend conscience de la pérennité d'une guerre des sexes, doublée d'une renaissance des stéréotypes sexuels. Au-delà de ce constat, Élisabeth Badinter décrypte la tendance insidieuse d'un nouveau féminisme qui a retrouvé les accents moralisateurs du judéo-christianisme, voire la naissance d'une "bien-pensance féminine" ou - pire - une dérive d'un féminisme guerrier. Qu'on ne se trompe pas : la guerre des sexes a toujours lieu. Élisabeth Badinter rappelle que "l'indifférenciation des sexes n'est pas celle des identités. C'est au contraire la condition de leur multiplicité et de notre liberté".